(welcome home). Chaque ville a son quartier pauvre, voici celui de Bloomfield. Bien loin de l’ « American Dream », les rues de Montgomery empeste la misère tellement elle est flagrante. Ici, les maisons ne font pas rêver et reflète au premier coup d’oeil la situation sociale qui y réside. Contraste total avec son voisin Cherry Hill, on est bien loin des beaux quartiers et allées parfaitement entretenue. Ici c’est plutôt fenêtres cassées, rafistolées avec des planches de bois et vieilles voitures cabossé qui ne démarre qu’après un bon nombre de coup de clef et un miracle. Les gens de Montgomery n’ont pas grand-chose à donner. La plupart vivent de petits boulots mal payés et ont bien du mal à joindre les deux bouts. Le plus gros pourcentage de chômeur de la ville vit dans ce quartier. Ils y zonent, dealent pour ramener quelques billets. Il n’est d’ailleurs pas conseillé de s’y balader la nuit, encore moins si tu n’es pas du coin. Ici les gens n’ont pas grand-chose à perdre. Vous l’aurez compris, Montgomery n’est pas très réputé, ni recommandé. Vous serez prévenu.